Nous brûlions d'amour
Nous brûlions d'amour, n'est-ce pas au Dieu caché que s'en allait la foie?
N'est-ce pas toujours à Femme que va finalement le feu originel qui nous brûle et dont nous voulons nous même être consumés?
Non, non, le partage n'est pas égal. Il est incommensurable.
Si l'intime se défait, si l'on assassine le secret, le caché, le dedans, le noir silence de l'origine et de la fin, le sang épais des entrailles, les viscères du monde, c'est la catastrophe. Le dehors n'est plus le dehors, plus rien n'est rien. Et ça basculerait dans le non-sens, la folie, l'aphonie, l'impossible réel, la non-pensée, le non-désir. Ce serait rien. De nouveau rien. Le chaos, les ténèbres.
Mais vais-je parvenir à donner à lire la blancheur, telle que tu l'as habitée, source, séjour, et aussi chemin de croix du féminin? C'est tant que tu me demandes...
C'est drôle, je me dis tu...Ce n'est pourtant pas par artifice...
Coucou, ça y est je suis là! je vous ai manqué hein??? Vous pouvez sécher vos larmes car c'est reparti pendant une semaine en ma compagnie. Si vous le voulez bien sûr. Enfin! tant pis pour ceux qui ne m'aiment pas, et qui se réjouissaient déja de ne plus me revoir, ne plus me lire. Désolée, de vous décevoir, il va falloir compter encore avec Mende, que vous le vouliez ou non!
Je vous prie de bien vouloir m'excuser pour cette absence prolongée. Mais, étant au chômage, il me faut consacrer du temps...oh la! Trop de protocole...!
Tout ce que vous devez savoir, c'est que je suis là et bien là!
Ad'taleur!